Le COVID-19 est aujourd’hui au cœur de toutes les recherches. Les scientifiques et médecins du monde entier travaillent d’arrache-pied pour essayer de trouver un remède, un traitement ou encore un vaccin contre le virus. C’est même devenu une course entre les Etats à qui trouvera le remède miracle le plus vite.
Certains gouvernement iraient même jusqu’à user de moyens peu orthodoxes pour mettre la main sur des recherches sur le Coronavirus. Les Etats-Unis ont accusé la Chine d’avoir lancé une vaste campagne de piratage informatique pour essayer d’accéder aux recherches des organismes de santé américains sur la pandémie.
Si l’on en croit les informations rapportées par la chaîne TV américaine CNN, plusieurs hauts responsables américains ont affirmé que de nombreuses agences gouvernementales et sociétés pharmaceutiques du pays ont été la cible d’une vague de cyberattaques visant particulièrement les recherches concernant le COVID-19.
La CNN rapportent que les responsables sont fermement convaincus que toutes les cyberattaques n’ont qu’un seul et unique commanditaire : le gouvernement chinois dont le but serait de s’emparer de toutes les données et informations qui lui permettraient de mettre rapidement au point un remède ou un vaccin contre le virus.
La Chine au cœur de toutes les méfiances
Depuis l’apparition et la propagation du Coronavirus à travers le monde, la Chine fait l’objet de nombreuses critiques sur la façon dont l’Empire du Milieu a géré l’épidémie. Les responsables sont notamment accusés d’avoir soutenu une vaste campagne de désinformation autour du COVID-19 et du danger qu’il représente dans le but de créer le chaos et permettre la propagation du virus hors des frontières chinoises.
COVID-19, quand certains pays en profitent
Soi-disant dans le but de protéger les habitants du Coronavirus, certains gouvernements sont accusés d’en profiter. Ils utilisent les moyens de surveillance technologique pour espionner leur population et récolter des infos et données personnelles. D’autres gouvernements essaient au contraire de se poser des limites avec la mise en place de législation qui leur permettent de ne pas franchir la ligne rouge.
Le problème est que c’est justement l’utilisation de solutions technologiques qui ouvre les portes aux hackers informatiques. En tout cas, pour ce qui est des accusations de piratages portées par les Etats-Unis contre la Chine, le principal intéressé n’a pas encore fait de déclaration officielle sur le sujet mais cela ne devrait tarder. Jusque là, les accusations sont dans l’ordre d’allégations dans la mesure où l’accusateur n’a pour le moment apporté aucune preuve.