La cruauté animale est partout dans le monde ! Que ce soit envers des animaux domestiques qui se retrouvent jetés d’un pont ou brûlés vifs ! Ou que les animaux sauvages soient capturés pour être exploités de manière complètement irrationnelle ! Les animaux sont des êtres sensibles et leur infliger des tortures est complètement abject !
Pourtant en Thaïlande, la torture des macaques existe… Réduits purement et simplement à l’état d’esclaves, enchaînés… Ils n’ont d’autres choix que de grimper aux cocotiers pour en récolter les fruits… Et à raison de 1000 noix de coco par jour, autant dire qu’ils ne résistent pas longtemps à ce rythme insensé !
1000 noix de coco par jour, pour alimenter les marchés européens et américains ! C’est ce que la PETA affirme en publiant ces vidéos et photos qui font le tour du monde ! Un humain récolte environ 80 noix de coco chaque jour… Imaginez la condition de ces macaques qui doivent grimper et redescendre jusqu’à 1000 fois par jour, avec parfois des cocos plus lourdes qu’eux… Impossible de prendre la poudre d’escampette, leurs chaînes les clouent au tronc du cocotier. Si ce n’est pas le bagne, cela y ressemble.
La PETA monte au créneau et appelle au boycott international
Cette enquête menée par la PETA (People for the Ethical Treatment of Animal) a été rendue publique le 3 juillet dernier. L’association appelle depuis au boycott des noix de coco en Europe et notamment dans certaines chaînes de supermarchés destinataires des cocos thaïlandaises ! Mais, elle en appelle aussi à la fermeture des « écoles pour singes » en Thaïlande ! Ces écoles où les singes ne connaissent rien d’autre que le dressage pour le ramassage des noix de cocos !
A la suite de cette désastreuse enquête, certaines chaînes de magasins comme Waitrose ou Boots ont arrêté tout commerce avec ces fermes de l’enfer ! 16 000 magasins dans le monde ont déjà retiré les produits issus de ces esclavages de leurs rayons. D’autres marques pourraient suivre le même chemin et boycotter les cocos thaïlandaises cueillies par ces pauvres singes !
Au lieu d’utiliser ces pauvres singes, les exploitants pourraient peut-être contacter cet agriculteur indien … Au moins les singes pourraient être libres !