Aujourd’hui lorsque l’on possède une voiture électrique, la recharge se fait sur des bornes dédiées qui elles-mêmes fonctionnent à l’électricité. Demain, si l’on en croit Kallista Energy, ces bornes devraient être alimentées par des éoliennes…
Une énergie bien plus verte issue évidement de ressource naturelle : le vent ! Kallista Energy, avec la collaboration du fabricant allemand Enercon, compte développer 80 stations de recharge en France. Une innovation qui aura de réels bénéfices pour l’environnement et pour les utilisateurs. D’autant que les performances de charge et les coûts semblent plutôt de bon augure.
Kallista Energy installera ses stations de recharge rapide d’ici 2024. Et ceci en s’appuyant sur le fabricant d’éolienne allemand qui dispose déjà d’une vingtaine de parcs éoliens sur notre territoire. Deux éoliennes seront nécessaires pour alimenter chaque station.
L’objectif de l’entreprise étant de mettre à disposition huit bornes minimum par station. Chaque borne possédera une puissance allant de 50 à 350 kW. Ce qui correspondrait à recharger le véhicule pour 300 kilomètres en 10 minutes.
Quant au déploiement, il se fera essentiellement sur le réseau autoroutier français et sur les axes secondaires les plus empruntés. À terme ce sont 48 points de recharge par station qui sont prévus.
Avec cette annonce, Kallista Energy espère rejoindre le club encore très fermé des fournisseurs de bornes à haute puissance sur les grands axes routiers. Pour le moment, Ionity et Izivia se partagent le marché français. Le plein électrique devrait coûter autour de 15€ et surtout, aucun abonnement ou engagement ne serait nécessaire pour recharger vos batteries le temps d’une pause détente…
Les éoliennes (produisent de l’électricité énergie, quand il y a du vent uniquement) ne sont pas l’avenir de l’électricité.
Une éolienne c’est 300 M2 au minimum.
Quelqu’un a t’il calculer combien d’éoliennes seraient nécessaires pour remplacer toutes les centrales nucléaires de france ?
Et les projections montrent qu’il faudra le double de centrales pour 2030.
Alors préparez vous à ne pas avoir de chauffage la nuit ou plus de voiture électrique.
L’avenir c’est le nucléaire, fission ou fusion: Janvovici.