Les recherches sur le coronavirus se poursuivent alors que 23 millions de français sont à nouveau confinés pour 4 semaines au moins… Pour le moment, aucune action n’a permis de ralentir la progression des contaminations ni de venir à bout de ce SARS-CoV-2 qui nous empoisonne la vie !
Des chercheurs du MIT viennent de publier une étude dans le Journal of the Mechanics and Physics of Solids. Cette étude montre que les vibrations d’ultrasons pourraient tuer le coronavirus. Un peu à la manière d’un chanteur d’opérette qui peut briser un verre en cristal avec sa voix ! Explications.
Pour parvenir à ces conclusions, les chercheurs ont crée des modèles informatiques de la structure supposée du coronavirus. Puis ils les ont soumis à diverses fréquences ultrasonores. Après la « séance » d’ultrasons, certaines parties du virus se sont rompues. Et ce, à différentes fréquences.
Evidemment, les recherches doivent se poursuivre, ce n’est pour le moment qu’une étude mais les chercheurs se disent confiants sur cette nouvelle piste. Il reste cependant un sujet sur lequel ils doivent plancher : quelles fréquences sonores pourraient combattre le virus sans endommager le corps humain.
Aucun traitement pour le moment !
Aujourd’hui, aucun scientifique ne sait comment venir à bout de ce virus mortel, mutant… Seuls les gestes barrières semblent éviter la propagation, à condition bien entendu qu’ils soient appliqués.
Les ultrasons sont des ondes sonores dont les fréquences sont supérieures à celles qui sont audibles par l’homme. Ces ultrasons sont utilisés dans l’imagerie médicale. Mais ils peuvent aussi l’être à des fins thérapeutiques comme pour détruire un calcul rénal par exemple. Puisque les médicaments connus ne semblent pas efficaces pour lutter contre le coronavirus, les chercheurs explorent d’autres pistes et notamment celle des ultrasons.
« Nous avons prouvé que, sous l’excitation des ultrasons, l’enveloppe et les pointes du coronavirus vibrent, et l’amplitude de cette vibration sera très grande, produisant des souches qui pourraient briser certaines parties du virus, causant des dommages visibles à l’enveloppe extérieure et peut-être des dommages invisibles à l’ARN à l’intérieur » explique Tomasz Wierzbicki du MIT. « L’espoir est que notre article lance une discussion entre diverses disciplines » précise le professeur de mécanique appliquée sur le site MIT News.
Bien entendu, l’immunité par le vaccin reste pour le moment la meilleure alternative, mais elle n’est que temporaire. Si, comme on l’entend, ce virus devient « saisonnier » alors il faudra trouver une réponse scientifique et médicale pour lutter ! On aimerait vraiment y croire pas vous ?