Vous connaissez les poêles à pellets (ou granulés) et les poêles à bois, deux méthodes de chauffage qui séduisent pour leurs côtés écologique et économique. Mais, connaissez-vous l’existence d’un autre type de poêle, que l’appelle « Jtube », « Rocket stove » ou « poêle dragon ». Il est encore très peu connu, mais pourrait devenir une nouvelle alternative aux poêles traditionnels. Dans une vidéo sur YouTube, Elios Vega explique à ses 2.2 K abonnés, comment il a échangé son poêle canadien de 25 kW avec un poêle dragon et les bénéfices qu’il parvient à en tirer. Cependant, qu’est-ce qu’un poêle dragon ? Comment ça marche ? On va tout vous expliquer.
L’expérience menée par le Youtubeur
Dans une vidéo de plus de neuf minutes, Elios Vega explique qu’il a « troqué » son poêle canadien contre un « Rocket Stove » afin d’en exploiter son exceptionnel rendement. Pour exploiter ce rendement, il faut emmagasiner l’énergie produite (la chaleur) dans une masse thermique qui permettra de la restituer dans de grands volumes. Avant de passer à ce type de poêle, il chauffait sa maison au bois, avec un poêle canadien de 25 kW. Un type de poêle qui chauffe rapidement et très fort, mais qui consomme énormément de pellets, devenus rares et chers. Le poêle canadien était adapté au mode de vie du Youtubeur puisqu’il lui permettait de chauffer de grands volumes rapidement. En revanche, la consommation étant trop importante, il souhaitait opter pour une solution qui ne demandait pas de gros travaux ni de construction supplémentaire. L’idée étant de trouver un système mobile, plus polyvalent et moins contraignant.
Pourquoi avoir choisi un poêle dragon ?
Il faut savoir que ce type de poêle est généralement un poêle polycombustible. Ce qui permet donc de brûler à peu près tout, comme des pellets évidemment, mais également du bois de palettes, du bambou, des coques de fruits ou encore des pommes de pins. Pour ceux qui envisagent de fabriquer leurs pellets, comme c’est le cas du Youtubeur, ce serait de ce fait, le poêle idéal ! Il explique que lorsqu’il a conçu son poêle dragon (vidéo disponible ici), réalisé avec un vieux fut métallique surmonté de plusieurs cheminées soudées, le plus difficile a été de réaliser le bruleur et le tube d’alimentation. Après plusieurs tests et échecs, il vante désormais les avantages de son poêle dragon. Il fonctionne sans électricité et lui permet aussi des économies de ce côté-là.
Selon lui, il ferait aussi de grosses économies sur les pellets de bois, qui se consument beaucoup moins vite qu’avant. Cependant, il note quelques inconvénients, et notamment le fait que le poêle dragon soit très bruyant, un allumage parfois fastidieux (au chalumeau dans la vidéo). Enfin, il précise que fabriquer un poêle dragon demande de vraies compétences en soudure afin qu’aucune fumée toxique ne puisse sortir du dispositif. De plus, le métal chauffé peut être brûlant et il n’existe pas de thermostat pour réguler la température. Il termine sa présentation par une petite phrase qui résume le tout : « ce n’est pas du high tech » ! On pense comme lui, mais ça fonctionne apparemment ! Plus d’informations : Elios Vega (YouTube)
Techniquement, qu’est-ce qu’un poêle dragon ?
Le poêle rocket ou dragon est un type de poêle à bois. Ainsi, il est appelé dragon par rapport au bruit qu’il produit lorsqu’il est en marche : le souffle d’un dragon. Il se présente comme un foyer semi-ouvert composé d’un orifice d’alimentation qui permet l’arrivée d’air et le chargement du combustible. Ce poêle dispose également d’une chambre de combustion et d’une cheminée d’évacuation, toutes deux isolées.
Sa configuration « en forme de fusée » lui confère une excellente combustion du bois et un chauffage très rapide. Initialement, il a été inventé pour la cuisson des aliments, mais il est de plus en plus utilisé comme poêle de chauffage. Quant à sa consommation, il réduirait de 2.5 à 5 fois, l’apport en pellets de bois.
Rien de nouveau, je chauffe mon atelier de 70 m2 depuis 10 ans avec un poêle dragon de ma fabrication. Je brûle des chutes de bois que je récupère dans mon entreprise.
diviser par 2.5 à 5 fois la consommation implique que le rendement du poêle canadien soit inférieur à 30%. Je n’y crois pas un instant.
Nous avons oublié les poêles types alsacien, situé au centre de la maison, qui permettais la cuisine et le chauffage de plusieurs pièces, avec une masses inertie qui pouvait rester chaude 2 ou 3 jours. Et qui pouvait être polycombustibles.
Quoi de nouveau ? Je connais ça depuis ma tendre jeunesse. Et ma maman et ma grand-mère cuisinaient avec ça. On dirait qu’on vient de découvrir l.eau chaude.comique tout ça. Encore des gens qui n’ont jamais rien vécu
Joissains, « encore des gens qui n’ont jamais rien vécu » réalise tu le sens de ta phrase ? Tu sait on a pas tous la chance de vivre « tout » demande à un enfant de 6 ans de conduire un véhicule, et tu te rendra compte que même ce pauvre enfant n’a jamais rien vécu (enfait il faut juste attendre qu’il soit légèrement plus vieux pour passer son permis et donc d’apprendre à conduire, et encore si les lois et la technologie sont toujours d’actualité sur ce moyen de locomotion au moment où il aura l’âge légal d’apprendre à conduire…) oui, personne n’a jamais rien vécu comme tu dit ! Même toi, lol je te parie que tu est même pas fichu d’avoir connu une palanquée de choses et c’est tout ce qu’il y a de plus normal quand on est pas prétentieux ou autosuffisant. Clairement ta phrase est purement stérile et la traduction de notre société qui individualise, tu connais des choses que d’autres ne savent ? Partage les copain au lieu de souligner les défauts des autres, je viens de souligner l’un de tes défauts, au delà du fait de t’en faire prendre conscience je préfère avoir l’intelligence de faire en sorte que ça ne soit pas stérile… apprends donc ton savoir ! Tu sera bien plus utile, ce mode de chauffage n’est pas commun pour l’époque, ceci explique pourquoi on a jamais rien vécu nous autre gens de la « basse », bonne journée, espérant t’avoir ouvert l’esprit et donne envie de contribuer à un monde meilleur … sincères salutations (oui je fait aussi des fautes d’orthographe et de conjugaison, à force de travailler sur des machines qui déshumanisent le travail…)