Selon une étude américaine, se forcer à sourire au travail augmenterait la consommation d’alcool… On cherche encore l’utilité de cette étude mais elle est bien réelle !
Dans la série des études qui n’étudient pas grand-chose mais qui sont pourtant bien réelles, nous en avons déniché une qui avance que les salariés qui se forcent à être joviaux, conviviaux et souriants au travail consommeraient plus d’alcool que ceux qui restent naturels, aimables ou pas !
Des chercheurs de l’université de Pennsylvanie aux Etats-Unis ont tout de même suivies 1592 salariés pour en arriver à ce résultat. On se dit quand même que certaines études sont pour le moins surprenantes, d’autant que ce constat-là semble logique quand on sait que l’alcool est un désinhibiteur.
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Les métiers liés au contact avec le client ou le patient seraient les plus fortement impactés par la consommation d’alcool après le travail. Ainsi les soignants, hôtes d’accueil ou enseignants seraient les professions les plus propices à la (sur)consommation.
Alicia Grandey, professeure de psychologie avance que le stress lié au travail serait un sentiment négatif et donc pousserait à consommer. Cela n’est pas forcément rassurant quand on sait que les professions citées ont un rapport direct avec le médical ou les enfants (ou étudiants). Dans le panel étudié, ceux qui n’ont pas une profession liée à la clientèle consommeraient moins d’alcool voire pas du tout.
Pour conclure, nous dirons qu’il vaut mieux rester naturel et même de faire la gueule plutôt que de paraître toujours heureux et disponible. Au pire, vous ne semblerez pas aimable mais au moins vous ne finirez pas alcoolique ! Ne serait-ce pas plutôt une question de 3ème mi-temps après le boulot ou tout simplement de volonté ?