Benjamin Jensen, un garçon de 8 ans, a eu l’idée d’équiper les avions avec des ballons géants en caoutchouc équipés d’émetteurs. Lors des crashs en mer, les ballons vont se déployer et signaler la position de l’accident aux secouristes.
Depuis le temps que les ingénieurs des compagnies aériennes se creusent la tête à ce sujet, c’est un petit garçon de 8 ans qui a finalement trouvé comment on pourrait faire pour retrouver les avions qui se sont crashés dans l’océan.
Notre petit génie est un jeune américain dont les parents sont deux anciens combattants d’Air Force One (armée de l’air américain rattachée aux vols présidentiels). Passionné par le métier de ses parents, Benjamin Jensen a imaginé une solution ingénieuse qui pourrait aider les secouristes à intervenir rapidement en cas de crashs aériens.
L’idée est d’équiper les avions avec des ballons géants en caoutchouc capables de résister à une grande pression. Les ballons doivent également être de couleur orange et être accompagnés d’émetteurs. En cas de crash, ils vont se déployer et flotter à la surface, permettant ainsi aux autorités de localiser rapidement et facilement l’avion accidenté.
Il s’agit d’une idée simple et pourtant efficace. Rapporté par le Daily Mail, Benjamin a confié que l’idée a germé dans son esprit alors qu’il regardait un show TV consacré au vol 370 Malaysia Airlines, l’avion qui a mystérieusement disparu en mer en 2014 et dont on n’a toujours pas réussi à retrouver la trace jusqu’à maintenant.
Désireux d’apporter son aide, Benjamin a envoyé une esquisse de sa solution, accompagnée d’une lettre, aux responsables de la compagnie aérienne Delta, Richard Anderson, PDG de la compagnie, et John E. Laughter, vice-président de la sécurité. Ces derniers, séduits par la solution imaginée par le garçon, n’ont pas perdu de temps pour lui répondre. Ils lui ont promis de faire examiner son idée prometteuse par des experts, accompagnant leur réponse de quelques petits cadeaux : deux maquettes d’avions ainsi que des crayons et stylos.
Qui sait ? Peut-être que dans un avenir proche, les compagnies aériennes vont mettre l’idée de Benjamin en pratique ? Le petit garçon peut en tout cas être fier de lui !