Il invente un kit de conversion pour transformer les bicyclettes en vélos électriques

Parfois le hasard fait bien les choses... Un jeune inventeur indien était loin d'imaginer que son DVECK, un kit de conversion électrique, intéresserait l'un des hommes les plus riches du pays

L’Inde semble devenir un pays important dans le monde de l’innovation. Cet immense pays d’Asie abrite de nombreux inventeurs qui se font désormais une place dans l’univers des produits innovants. Forts de proposition et souvent très visionnaires, les inventeurs indiens comptent parmi les plus novateurs. Parmi eux, nous vous proposons de découvrir Gursaurabh Singh, fondateur et créateur d’un kit de conversion révolutionnaire. Son nom : Dhruv Vidyut (DVECK). Il a très récemment reçu un soutien inespéré ! Celui d’Arnand Mahindra, « un homme d’affaires milliardaire indien et le président de Mahindra Group, un conglomérat d’affaires basé à Mumbai ». Son kit de conversion électrique pourrait bien conquérir le monde ! Présentation.

Qu’est-ce que le DVECK ?

Ce kit de conversion électrique, serait selon son créateur, doté d’une technologie révolutionnaire. Cette technologie permettrait de convertir n’importe quel vélo classique en un vélo électrique alimenté par batterie. Le kit donnerait une puissance maximale de 25 km/h et une charge utile de 170 kilos. Le côté révolutionnaire réside dans sa facilité d’installation. Selon Gursaurabh Singh, le DVECK ne nécessite aucun gros outil, ni aucune connaissance en mécanique !

Le kit de conversion (D.V.E.C.K)
Crédit photo : Dhruv Vidyut

Pourquoi le soutien de Mahindra est-il capital ?

Anand Mahindra, est l’un des hommes les plus riches de l’Inde, il est connu pour fournir des efforts afin d’améliorer la société indienne dans sa globalité.  Dans un tweet, il loue le bien-fondé du DVECK, et offre à son créateur une visibilité inespérée. Dans une vidéo, qui ressemble à une publicité, il vante les merveilles du kit de conversion électrique. On peut y découvrir l’installation d’un DVECK sur un vélo de base à guidon.

Quelles spécificités pour le DVECK ?

Dans cette vidéo, nous apprenons que le kit de conversion permettrait d’obtenir 40 kilomètres d’autonomie. Mais également qu’il serait parfaitement résistant aux conditions difficiles des routes indiennes. La boue, l’humidité, la chaleur écrasante, rien ne l’arrêterait. Il serait également utilisable comme chargeur de téléphone et résistant à la rouille. Des critères qui peuvent nous sembler évidents, mais qui semblent être une prouesse en Inde. Mahindra écrit : « C’est un bon rappel pour tous les constructeurs automobiles qui se concentrent sur les véhicules électriques perturbateurs que CETTE révolution des véhicules électriques est peut-être la plus importante »

Un kit de conversion waterproof
Crédit photo : Dhruv Vidyut

Un kit de conversion prêt à conquérir l’Inde !

Il explique ensuite vouloir devenir investisseur sur le produit car il pense que cette invention ne sera pas forcément rentable. Il ajoute qu’il sera toujours fier d’investir dans des produits innovants qui pourraient changer les choses dans son pays. Il a ensuite demandé aux utilisateurs de Twitter de le mettre en contact avec l’inventeur, qui aimerait que son invention puisse être utile à 58% de la population indienne… Ce qui représente plus de 800 millions de personnes qui utilisent aujourd’hui un vélo traditionnel. Autant dire que si son invention connaît le succès envisagé, le créateur sera, lui aussi, un homme riche ! Ce n’est pas la première fois qu’une invention indienne fait le buzz dans le monde. Nous pourrions citer la Nano Tata House, cette tiny-house à 700€ , ou ncore cette jeune fille qui a inventé des vélos cargos solaires pour remplacer les chariots de repassage.

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Vidéo : Dhruv Vidyut Dhruv Vidyut (Facebook)

Méline Kleczinski

Jeune rédactrice de 23 ans, j'écris depuis trois ans, avec une préférence pour les domaines liés à l'actualité, à la psychologie, aux études scientifiques, ou à la protection et l'environnement dans son ensemble. Mon petit parcours de rédactrice junior s'inspire de différentes études scientifiques, ou de sujets d'actualité abordés dans différents médias que je suis avec intérêt. Particulièrement touchée par la protection des animaux, j'aime vous transmettre les avancées et les lois relatives au bien-être animal. Personnellement engagée comme présidente d'une association, je mets un point d'honneur à protéger les animaux de toute nature (hérisson, abeilles, insectes, chiens ou chats)... Je n'ai probablement pas l'expérience professionnelle de certains rédacteurs en matière de politique, de principes scientifiques. Mais, je tente d'apporter ma petite pierre à l'édifice en vous racontant mes expériences et mes réflexions dans des domaines qui me touchent. Et, puisque la vie est une surprise chaque jour, je considère chaque jour comme une opportunité d'apprentissage et d'évolution. C'est la raison pour laquelle, à 23 ans, j'ai encore besoin d'apprendre des milliers de choses, et de me cultiver pour vous conter encore plus d'histoires passionnantes. Rejoignez-moi dans cette aventure de découverte et de réflexion, où la curiosité et le souci du bien-être animal se rejoignent pour inspirer des discussions et des actions porteuses de sens... Ma passion pour les animaux en général a toujours été au cœur de mes préoccupations. Soucieuse de leur bien-être et de leur place dans notre monde, je m'efforce de sensibiliser mon audience à leur protection, à travers des articles informatifs et engagés. Qu'il s'agisse de sujets comme la conservation des espèces, les droits des animaux ou simplement des anecdotes touchantes, je trouve une grande satisfaction à partager mes connaissances et mes réflexions pour encourager une prise de conscience collective. En tant que jeune professionnelle, je considère chaque jour comme une opportunité d'apprentissage et d'évolution. Je m'efforce de rester à l'affût des dernières découvertes scientifiques, des débats sociétaux émergents et des avancées technologiques, afin d'enrichir mon travail et d'offrir à mes lecteurs un contenu pertinent et stimulant. N'hésitez pas à me rejoindre dans cette aventure de découverte et de réflexion, où la curiosité et le souci du bien-être animal se rejoignent pour inspirer des discussions et des actions porteuses de sens..

8 commentaires

  1. Bon pour celui qui a laissé le commentaire disant, Ives c’est juste un détail bien évidemment ce n’est pas une mesure ceux qui a été écrit. La personne qui a écrit n’a pas forcément le vocabulaire technique. Reste à tester, vous direz peut-être mettre de moteur vélo solex à la place de moteur électrique, vous connaissez ?

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  2. La France est a la traîne, après avoir tout perdu en innovations les pays qui étaient eux a la traîne nous dépassent en technologie,et nous avons perdu tout notre savoir faire a cause d’une mauvaises gestion du pays, voilà où mène le transfert de technologies tant aimé par les gouvernements précédent…

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  3. Révolutionnaire ? Pas sûr. Pour de l’électrique c’est novateur, mais regardez en arrière, les kits de moteurs auxiliaires existaient déjà dans les années 50. C’est une mise à jour.

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