En 1947, les scientifiques ont eu l’idée de créer l’horloge de l’Apocalypse pour marquer symboliquement le compte à rebours vers l’Armageddon, à minuit. À son lancement, la montre indiquait minuit moins sept secondes pour avertir du danger des bombes atomiques. Depuis, elle est réglée chaque année par le Bulletin of the Atomic Scientists (BAS) en fonction des crises mondiales qui menacent l’avenir de l’humanité. En 1953, après les premières explosions nucléaires, le Doomsday Clock a été réajustée à minuit moins deux minutes.
L’heure fatidique approche
Avec la pandémie de COVID 19, le changement climatique, la course aux armements nucléaires et la désinformation, le chronomètre a de nouveau sonné l’alerte et se situe à moins 100 secondes avant minuit depuis 2020. Trois ans plus tard, d’après les analyses du BAS, nous nous trouvons encore sur le seuil de la catastrophe.
La désinformation précipite notre perte
Alors que l’humanité est déjà confrontée à la pandémie, au réchauffement climatique et à la prolifération nucléaire, la désinformation en ligne ajoute un problème de plus à l’échiquier. Dans le cadre de la lutte contre le Covid en particulier, la propagation des infox sur la toile a grandement entravé la mise en œuvre des mesures sanitaires proposées par les scientifiques. Du port de masque à la vaccination, la désinformation sème le doute chez la population mondiale, aggravant de plus en plus la situation. De nombreux pays ont payé les frais des informations biaisées et des réponses incohérentes des communautés et des dirigeants.
Il n’est pas encore trop tard pour changer la donne
Certes, nous ne pouvons pas effacer les séquelles de la pandémie ou du réchauffement climatique. Mais, les experts du BAS évoquent la possibilité de reporter l’Apocalypse à plus tard en prenant les dispositions adéquates. Dans le domaine de l’armement nucléaire, la solution passerait par la poursuite des dialogues diplomatiques entre les grands pays du monde pour limiter la production d’armes par exemple.
Concernant le changement climatique, le BAS insiste sur la réduction de l’utilisation des combustibles fossiles en les remplaçant par des solutions énergétiques durables afin de minimiser les émissions de gaz à effet de serre. Ces actions sont à mener à l’échelle internationale. Par conséquent, il est nécessaire d’entreprendre des efforts politiques unifiés et de mettre en commun les compétences pour obtenir des résultats palpables et durables. Cependant, les actions individuelles sont toutes aussi importantes. Pour l’heure, le pari est loin d’être gagné !
Je trouve tres intéressant ,cette horloge symbolique, construite afin de suivre les évenements mettant la planete en péril. Disons que c ‘est simple de cette facon que de lire des courbes ‘ car on peut l’avancer ou la reculer. Bien évident qu’il faut suivre la situation de pres, avoir tous les renseignements pour juger de la gravité de la situation actuelle. J’avais commencé une sorte de diagramme ,pour faire voir a des amis, mais je n’ai pas pu continuer,je ne suis pas dans le milieu des informations comme la N A S A. C’est vrai, qu’un jour peut- etre proche ,le risque de faire un feu d’artifices, est a craindre ,mais espéront qu’il ne viendra pas. Je suis passionné par tout ce qui est scientifique, et je peux croire que des civilisations ont vécu avant nous sur la terre ,et peut-etre se sont faites peter la gueule avec d’autres genres de moyens de destructions. Possible de la part de civilisations extras-terrestes,on peut tout supposer.Conclusion, super cette horloge ,il fallait y penser.