En Antarctique, il existe un glacier appelé Pine Island Glacier (Le glacier de l’île du Pin). Et ce glacier inquiète particulièrement les scientifiques. S’il venait à s’effondrer, le niveau de la mer pourrait alors remonter de plus de trois mètres ! Ce glacier dont la taille est équivalente aux deux tiers du Royaume-Uni se trouve dans la zone ouest de l’Antarctique, une zone à écoulement rapide.
Les scientifiques l’observent de près et estiment qu’il pourrait connaître des points de non-retours… Trois exactement ! Le 23 février dernier, un iceberg de 1270 km² s’était déjà détaché de la banquise… Et le réchauffement climatique n’est pas indifférent à cette histoire.
Une inexorable montée des eaux
Le Glacier de l’île du Pin et celui de Thwaites tout proche, entraînent déjà une élévation du niveau de la mer de 10%. Mais le plus inquiétant pour les chercheurs serait d’atteindre un point de non-retour, qui entraînerait une inexorable montée des eaux.. Une étude parue sur European Geosciences Union et menée par des glaciologues de l’université de Northumbria (Royaume-Uni) ont cherché à identifier les points de basculement.
Selon leur conclusion, le glacier de l’île du pin, présenteraient au moins trois points de non-retours. Et l’un de ces points créés par l’élévation de 1.2°C de la température de l’océan conduirait au décrochage de l’ensemble du glacier. Toujours selon ces chercheurs, le réchauffement des eaux polaires de l’antarctique combiné avec la variation des vents pour faire basculer le glacier définitivement.
La conclusion de l’étude
« Cette étude constitue une avancée majeure dans notre compréhension de la dynamique des glaces de l’Antarctique et je suis ravi que nous ayons enfin pu apporter des réponses fermes à cette question importante. Mais nos résultats m’inquiètent également. Si le glacier entrait dans une retraite instable et irréversible, l’impact sur le niveau de la mer pourrait être mesuré en mètres et une fois que la retraite commence, il pourrait être impossible de l’arrêter » conclut le glaciologue Hilmar Gudmundsson.
Que veut dire : « une élévation de la mer de 10% » ?
Si c’est par rapport au point le plus profond des océans, soit environ 11.000m, cela voudrait dire une élévation de 1000m partout sur le globe !?…
Alors que l’on parle de 3m quelques paragraphes auparavant…
Cela me paraît démesuré et surtout assez incohérent avec ce que l’on observe aujourd’hui. Certes les événements climatiques extrêmes sont en augmentation, avec des tempêtes plus fréquentes et plus fortes.
Mais l’idée même d’une élévation brutale de 3m du niveau des océans signifierait qu’auparavant nous subirions une vague bien plus haute qui submergerait une bonne partie des zones côtières sur tous les continents…
Ma dernière question est donc : ce qui est écrit dans cet article est il plausible ?
Merci
Trois mètres … Un moment donné il faudrait juste calculer le volume de glace sur terre et le mettre en corrélation avec la surface des océans … Il n’y a pas assez de glace sur terre pour une montée de trois mètres. Et je ne parle même pas du reste de l’article qui est un ramassis de Foutaises.
Vous avez donc fais ce calcul par vous même ou c’est juste une hypothèses au doigt mouillé ?
Revoies tes calcul l’ami
Même si la fonte totale des glaces n’est pas à l’ordre du jour, il y a sur. Terre assez de glaces continentales pour augmenter le niveau marin mondial de plus de 70 m… l’Antarctique a lui tout seul avec ses 26 millions de km3 de glace ferait monter les océans de près de 65 m..
Bête règle de 3…….