
L’énergie façonne notre avenir et le biogaz reste un élément précieux de cette révolution verte. Issu de la fermentation de matières organiques, ce gaz renouvelable bouscule les codes établis et redéfinit notre rapport à l’énergie. Loin d’être une simple tendance éphémère, le biogaz est une solution concrète et durable face aux défis énergétiques et environnementaux de notre époque. Voici d’ailleurs les raisons pour lesquelles cette ressource suscite un tel engouement.
Un impact environnemental réduit
Le biogaz permet de réduire considérablement notre empreinte carbone. Contrairement à son homologue fossile, il affiche un bilan carbone quasi neutre et diminue les émissions de CO2 de près de 80 %. Cela s’explique par son cycle vertueux. En effet, le carbone libéré lors de sa combustion est celui-là même qui a été capté par les végétaux dont il est issu. Notez qu’il émet tout de même des GES lors de la méthanisation et valorisation du digestat (même si cela reste bien moindre que les énergie fossiles).
En plus de cette performance, le biogaz valorise les déchets organiques qui, autrement, libéreraient du méthane dans l’atmosphère. En transformant ces résidus en énergie, votre fournisseur de biogaz contribue activement à la réduction des émissions de gaz à effet de serre. Cerise sur le gâteau écologique, le processus de production du biogaz génère un sous-produit intéressant : le digestat. Riche en nutriments, cet engrais naturel permet de boucler la boucle en nourrissant les sols agricoles, ce qui réduit ainsi le recours aux engrais chimiques.
Une ressource renouvelable et locale
Le biogaz incarne l’essence même de l’énergie renouvelable. Tant que l’humanité produira des déchets organiques, nous disposerons d’une source inépuisable d’énergie. Cette caractéristique le place en pole position dans la course à l’indépendance énergétique. Avec la production locale, le biogaz redessine la carte énergétique. Désormais, elle naît à nos portes et réduit notre dépendance aux importations. Cette proximité engendre un cercle vertueux économique. En effet, la filière du biogaz crée des emplois non délocalisables, stimule l’économie locale et favorise l’émergence d’une véritable économie circulaire.
Une flexibilité d’usage remarquable
Le biogaz s’adapte à une multitude d’usages et répond ainsi à des besoins variés. Dans les centrales de cogénération, il se mue en électricité et en chaleur. Purifié en biométhane, il s’injecte dans les réseaux de gaz existants puis verdit ainsi notre mix énergétique sans bouleverser nos infrastructures. Mais c’est peut-être dans le domaine des transports que le biogaz révèle tout son potentiel. Sous forme de bioGNV (Gaz Naturel Véhicule), il propulse bus, camions et voitures en réduisant leurs émissions de CO2 de 80 % par rapport aux carburants fossiles.
Un atout pour les entreprises et la transition énergétique
Pour les entreprises soucieuses de leur impact environnemental, le biogaz représente une opportunité en or. À la faveur de cette énergie verte, elles réduisent leur empreinte carbone. Il s’agit d’un véritable atout dans un contexte où la responsabilité environnementale devient un critère de choix pour les consommateurs et les investisseurs. Par ailleurs, le biogaz s’inscrit parfaitement dans les stratégies RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises) et offre une solution concrète pour atteindre les objectifs de développement durable. Il permet en effet aux entreprises de se positionner comme des acteurs engagés de la transition énergétique puis renforce leur image. Je vous invite à partager votre avis, vos remarques ou nous signaler une erreur dans le texte, cliquez ici pour publier un commentaire .
Bonjour Mr Bonazzi,
Ne m’en veuillez pas s’il-vous-plaît de vouloir réagir à votre article.
J’espère ainsi pouvoir contribuer à nuancer.
Sauf erreur, il me semble que Mark Twain dans l’un de ses ouvrages avait repris l’idée du mythe de la caverne de Platon (pour qui connaît l’histoire des tailles des ombres des objets projetées par la lumière et de la taille réelle des objets), ainsi à savoir que le plus dangereux n’est pas l’ignorance mais de tenir pour vrai ce qui ne l’est pas.
Il est avant tout essentiel de remercier tous les collaborateurs qui permettent à ce site d’exister.
La Révolution Française, générée par le fait que la noblesse et le clergé n’aient pas voulu contribuer à l’effort que demandait Louis XVI suite à la convocation des Etats Généraux, qui devrait être célébrée plutôt le 5 août, lorsque l’abolition des privilèges fut déclarée dans la nuit du 4 au 5 août, permit, outre d’accorder la citoyenneté à des groupements d’individus qui en étaient jusque là privés, essentiellement de contribuer à l’essor du journalisme moderne, par la création soudaine de nombreuses ‘publications’ grâce à la ‘publicité,’ à savoir au sens originel, de rendre public, grâce à l’oeil, et non au sens actuel de ‘commercialiser.’
L’initiative du site pour lequel vous vous investissez de pouvoir mettre en lumière des concepts scientifiques permettant de contribuer à l’amélioration de la vie ‘anthropocène’ placée actuellement dans un concept de ‘nature, travail, et capital’ qui se doit d’être outrepassé pour réussir, doit être louée.
Le corps humain est composé en moyenne de 60 à 70% d’eau.
La production de biogaz par déchets organiques nécessite des quantités énormes d’eau, essentiellement de l’eau douce, qui n’est exploitable sur Terre que dans l’ordre de 1 à 2% (il me semble que c’est Al Gore qui le mettait en illustration dans ‘Une Vérité qui dérange’ en 1999, en évoquant les déplacements migratoires en Asie à prévoir suite à la raréfaction future des débits des fontes des glaciers himalayens).
La NASA a mis en place deux satellites qui permettent de sonder les environ 38 mégapoches de réserves d’eau souterraine profondes, utilisées essentiellement pour la production agricole, pour constater que la moitié d’entre elles est déjà surexploitée voire quasi éteinte, d’où les sécheresses et incendies en Australie, Canada, et Californie de ces dernières années ; nous avons aussi subi et continuerons à subir cela en France à moindre échelle depuis 2019 (en forêt bordelaise, de Brocéliande, et vers la Méditerranée).
Ce n’est pas pour rien que les lanceurs d’alerte de la ‘crise’ des subprimes ont investi dans des sociétés gérant l’eau.
L’eau est devenu un produit côté en bourse. Ainsi des agriculteurs australiens devaient payer dans les 300$ par million de m³ il y a quelques années en vue de pouvoir produire.
Les centrales nucléaires à sels fondus pourront peut être permettre de désaliniser l’eau de mer et la rendre exploitable pour la production agricole.
Si Lavoisier a énoncé que rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme, il est intéressant de se poser la question du devenir des ‘déchets’ de saumure, qui seront en tous cas non radioactifs.
Dans l’équation, il faut prendre en compte les dégats déjà réalisés sur les biotopes par la mono agriculture ‘moderne’ intensive extensive mécanisée que dénonçait déjà Rachel Carson au début des années 50, il y a plus de 70 ans déjà, qui outre de générer des zoonoses ayant profité aux lobbies de la médecine allopathique ‘moderne,’ par un mode de vie plus sédentaire, générant surpoids, diabète, hypertension, maladies cardiaques, et cancers intensifiés par une pollution par les particules fines dont les Nox issue d’une production de protéines animales multipliée par cinq en 70 ans, généralisant des allergies de plus en plus mortelles, sans compter la résistance accrue aux antibiotiques ingérée par les animaux destinés à produire des protéines et ingérée à son tour par l’humain, qui permettent aux exploitants de générer plus de 50% de leurs revenus par l’élevage, l’augmentation déraisonnée de biomasse sur terre ayant été causée par l’élevage, les humains ayant paradoxalement de surcroît moins en moins de contact avec l’acide cyalique des animaux de la ferme en raison d’une déruralisation et d’un accroissement des exploitations d’élevage de plus en plus gigantesques, mais le plus dangereux reste la raréfaction de la biomasse de taille beaucoup plus petite et dont le poids reste actuellement supérieur à celui de l’être humain et de l’élevage, mais pour combien de temps encore, à savoir les insectes et les invertébrés, par les produits chimiques, ainsi que le réchauffement climatique, qui a favorisé en notre contrée à notre défaveur des espèces non indigènes de s’acclimater, telles que certaines fourmis, les moustiques tigre, frelons asiatiques, chenilles processionnaires, termites, voire fongiques telles que la mérule, et autres parasites destructeurs d’arbres, et de devenir à présent nuisibles, aboutissant au constat qui est que depuis 2017, la quantité d’humus produite annuellement ne permet plus de compenser les émissions de CO², engendrant ainsi des sécheresses (risques de famines) et risques d’incendies, et qui font ainsi que le cycle de vie est de plus en plus ‘attaqué.’
L’ONF ne peut à présent que tenter de planter – là où cela leur est autorisé – des variétés notamment de jeunes chênes plus résistantes aux feux en espérant vivement qu’elles pourront se développer et résister, alors que d’un autre côté des coupes franches sont réalisées sur des forêts primaires pour produire des pinède droits optimisant ainsi la rentabilité par des investisseurs qui touchent des subventions pour planter annuellement dans des endroits où cela ne repousse pas mais cela leur importera peu tant que les subventions leur continueront d’être versées (c’est beau l’humanisme…).
La réintroduction des haies, bocages, marais, l’utilisation de ‘thé de compost,’ et de machines agricoles légères en coopérative telles que des désherbeuses dôtées de caméras, de drones dôtés aussi de caméras pour vérifier les teneurs en azote, l’implantation croissante mais insuffisante de cultures telles que celles de miscanthus giganteus pour capter le CO², culture qui est utilisable également en paillage et en construction, limitée par la pression exercée par la demande sur le foncier en vue de maintenir un quota de terres agricoles suffisamment élevé pour profiter au maintien de la production de cultures destinées à l’élevage et qui ne pourront profiter qu’à des investisseurs qui lorgnent déjà sur le départ à la retraite d’ici dix ans d’environ 100000 exploitants agricoles, la culture en bioponie de variétés de lentilles d’eau produites en France à haute teneur en protéines associée à un mélange de graminées permettant une réduction de production de méthane pour l’alimentation animale, plutôt que de vouloir faire ingérer des granulés contenant des résidus d’insectes, notamment de scarabées Molitor contenant de la chytine, dont les vaches gourmandes en sont folles, sont des solutions, ainsi qu’une production accrue de viande ovine moins demandeuse en eau à teneur égale en protéines que les viandes porcines et ovines, ainsi qu’une consommation raisonnée de viande de 500 g par semaine recommandée par l’OMS (pour qui connaît les ouvrages de Norman Walker, végétarien qui vécut jusque l’âge de 97 ans, ainsi que les graines germées, il serait après tout peut-être possible de réduire la consommation de viande car après tout au Moyen-Âge on cultivait bien du chou kale, qui peut être aussi une source à teneur non négligeable en vitamines B12 ; par ailleurs l’humain, être hétérotrope que l’on dit ‘omnivore’ a des intestins bien moins adaptés que celui des carnivores pour digérer efficacement la viande (si il faut en plus la saupoudrer de nitrites pour la rendre plus jolie, ah, la vie en rose…)), viande ovine produite essentiellement intensément concentrée plongée les 3/4 du temps dans un éclairage artificiel faible qui permet de donner quasi continuellement faim à des poulets qui mangeront une alimentation suffisamment riche pour engraisser en quarante jours pas plus au risque pour certains de ne plus tenir sur leurs pattes (peut-être ces poulets auront-ils vu au moins une fois la lumière du jour sur le chemin de l’abbatoir), viande ovine qui permet de surcroît de produire des oeufs à teneur non négligeable en nutriments dont la choline et protéines, et dont les déchets de coquille peuvent être hautement valorisés.
Le marché de la sylviculture est plus important que celui de l’automobile en France, et pourtant on en ingère tous les soirs des publicités commerciales pour des ‘voitures de rêve propres’ roulant aux terres rares’ (pour citer Laurent Castagnède, l’énergie la plus propre restera toujous l’huile de genou), alors qu’on pourrait envisager un téléthon pour planter des arbres (si cela s’est déjà fait au Danemark par exemple). On peut louer à Louis XIV le fait d’avoir fait planter des forêts de chênes pour construire des navires pour le commerce de la canne à sucre puis à Napoléon de planter des betteraves pour mettre fin à l’esclavagisme.
Je suis les publications de l’université de Californie depuis plus d’une dizaine d’années. Elle dispose d’une chaîne sur YouTube, l’UCTV. Ce que trouve génial pour cette université, c’est qu’elle a divers pôles, dont un de recherches en biologie marine, utile pour la recherche médicale, qu’on n’aura pas forcément le temps de rechercher si les sols océaniques se verront trifouiller pour leurs terres rares. Un bon millier de vidéos y est disponible, dont une sur les solutions envisageables en vue de contenir du mieux possible la production de G.E.S. et l »effet de serre’ des 400 ppm de CO² par m³ d’air qui pourrait passer jusqu’à 1200 vers 2100 en mode scénario 3 si rien ne serait fait concrètement et aboutirait ainsi à une hausse des températures de jusque 7⁰c, qui n’aurait pas été pris en compte par la COP 2015, et ainsi devenir ‘effet cocotte minute.’
Le concept d’énergie grise, dont l’architecte Werner Sobek est l’une des personnes à l’avoir mis en lumière dans le domaine de la construction (secteur fort émetteur), se voit à présent accolé à l’analyse de la gestion du cycle de vie.
L’éolien et le photovoltaïque seraient ainsi actuellement beaucoup moins demandeurs en eau pour produire de l’électricité et se chauffer que la par la production de biogaz d’après ces chercheurs universitaires.
Werner Sobek collabore avec le Passivhaus Institute qui promeut la construction de bâtiments ‘passifs,’ en collectif ou petit collectif, à savoir bénéficiant d’une isolation renforcée tirant également profit de l’ensoleillement et pourquoi pas à présent de l’éolien également en vue d’être le plus possible autonome en production électrique.
Ainsi avait-t-il réalisé en 2014 la maison ‘B10,’ un petit ‘logement’ en bois, en partenariat notamment avec l’ILEK et alphaeos, qui était équipée de 40 m² de panneaux photovoltaïques et capteurs avec centrale informatique, et non pas d’un puits canadien mais d’une batterie résidentielle constituée d’un accumulateur de glace à eau glycolée de 15 m³, et qui sur les 3 années d’observation produisait jusque 44% de plus en électricité que l’autoconsommation et permettait ainsi également une petite voiture électrique et pourquoi pas aussi un petit vélo électrique.
Le Véhicule 2 Grid est actuellement promu (une fois réussi la généralisation du véhicule électrique bien évidemment actuellement individuel qui demandera moins de terres rares).
Le Club de Rome réunissant une centaine de scientifiques n’aura pas eu que des bonnes idées, notamment en proposant dans les années 60s à l’ONU de faire fondre les glaces des pôles, mais il a évalué environ 10 années plus tard que le décalage entre l’offre (les ressources exploitables), à savoir donc ce que l’humain assimile à tort à titre réducteur être la nature, et la demande (par le travail, dont l’étymologie vient du fait de placer un animal de traît encordé à trois pieux), accrue par l’accroissement de la population mondiale, et de la demande en capital (à tort donc le ‘profit’) générerait une pollution, à savoir des ‘déchets,’ qu’ils soient organiques ou non, ceux-ci resteront dans l’air, sur terre, en mer, sous forme visible à l’oeil nu ou invisible sous forme de nanoparticules pouvant être trop facilement ingérés, que cela soit des résidus de médicaments, de microplastiques, de l’alkylcyclobutanone présenté sous forme de logo vert, du dioxyde de titane s’accumulant dans le cerveau, ou des glyphosates que les capillaires des intestins assimilent à tort à un acide aminé qui est la glycine, et que ces déchets contribueront à une surmortalité, par les causes de décès évoquées plus haut, sans évoquer non plus l’accroissement des maladies auto-immunes, ou tout simplement à terme par stérilité, et donc auto-régulation.
Les nanostructures et nanopolymères inspirées du biomimétisme végétal et animal (termitières, refroidissement adiabatique… dans les zones chaudes et de récupération de chaleur dont corporelle dans les zones plus froides) à base des ressources les plus abondantes sur terre telles que la terre (notamment crue), la cellulose (l’herbe), voire pourquoi pas aussi de la chytine (acide aminé produit par des insectes) et de certains fungi, pourraient devenir les matériaux du futur, ou du moins réduire l’empreinte béton-clinker de tels logements, associés à l’IA et impression 3D, et peuvent ainsi ouvrir la voie à la réduction des émission de G.E.S. dans le secteur de la construction, et réduire le recours à des matériels conçus actuellement à base d’énergie fossile (métaux, plastiques, terres rares) (P.A.C., climatiseurs…).
La captation du CO² devient aussi un enjeu majeur, et les outils qui le permettent actuellement nécessitent beaucoup d’énergie et de ressources fossiles pour extraire des terres rares.
Cette piste est explorée en vue de produire des carburants de synthèse de type bioéthanol en espérant réduire le plus possible l’empreinte carbone et les coûts de l’hydroélectrolyse.
Les étapes de production de carburants de type biométhanol un temps envisagés ont été réduites mais ces carburants se révèlent très nocifs pour l’être humain et sont fabriqués actuellement encore essentiellement à base de déforestation.
Les chiffres en terme d’analyse de gestion d’analyse de cycle de vie sont assez surprenants.
Ainsi une vache (enragée ou non) au cours de sa vie émettrait plus de G.E.S. que la production d’une tonne d’acier.
Le bois utilisé comme combustible génère moins de CO² que la production de charbon, cependant il émet plus de de G.E.S. à haut potentiel radiatif tels que des sulfures que le charbon (qui produit beaucoup plus de CO².
Pour en revenir au biogaz, pour information, des sociétés bien de chez nous importent par containers entiers ayant traversé l’Atlantique des déchets organiques de déforestation de forêts primaires pour les brûler dans leurs unités de ‘revalorisation.’
Il serait ainsi peut-être plus utile de mieux partager, et produire moins de ‘déchets,’ puisque l’énergie est notre avenir.
Je pense que vous avez lu le rapport d’Oxfam. C’est en tout cas un bon début.
Dans tous les cas, je vous serais reconnaissant de bien vouloir s’il-vous-plaît ne pas prendre au pied de la lettre tout ce que je viens d’énoncer.
En effet, pour reprendre Einstein sans le citer mot pour mot, éloignez-vous des gens négatifs car ils trouvent toujours plusieurs problèmes à une solution. Et l’imagination dépasse l’invention.
Mon prénom n’est ni Jean-Marc ni François.
Je vous remercie beaucoup pour m’avoir lu.
Merci beaucoup à toutes et à tous pour ce site d’informations magnifiques qu’est Neozone.