Avec l’augmentation croissante du nombre des appareils électroniques en circulation, nous sommes confrontés à un défi de taille : celui de trouver des solutions pérennes pour assurer l’alimentation électrique de tels dispositifs. Dans cette optique, une équipe de l’Université de Floride Centrale (UCF) a mené une recherche qui porte sur un concept pour le moins intéressant. À cet effet, Reza Abdolvand, professeur et président du département de génie électrique et informatique de l’UCF, travaille avec ses collaborateurs sur ce projet. Ils se sont intéressés aux ondes radio pour alimenter les dispositifs utilisés dans le domaine de l’internet des objets.
Réduire la dépendance aux accumulateurs
D’après le professeur Abdolvand, en plus de pouvoir contribuer à l’expansion de l’IoT, leur invention peut réduire la dépendance de l’industrie électronique aux batteries. Force est de reconnaître que la grande majorité des appareils que nous utilisons comportent des batteries, pour ne citer que les téléphones, les montres connectées, les tablettes, etc. Et face à la généralisation de l’internet des objets, l’expert estime que l’approvisionnement en énergie deviendra bientôt un casse-tête pour les ingénieurs. Heureusement, via leur technologie, les chercheurs de l’UCF espèrent pouvoir changer la donne.
Une invention qui s’annonce largement utile
En réalité, leur découverte consiste en une technologie qui intègre des capacités de récupération de puissance et de détection du spectre des radiofréquences pour des applications ultra-basse consommation. Un dispositif intelligent capture l’énergie ambiante, en particulier les ondes électromagnétiques, pour la convertir en courant continu. Le tout se déroule dans une empreinte submillimétrique et dans une gamme de fréquences définie lithographiquement. Grâce à un dispositif expérimental, les chercheurs affirment avoir réussi à faire en sorte qu’une transmission de données plus intelligente se déroule entre des nœuds (émetteurs) et des hubs IoT, lesquels faisaient office de récepteurs.
Contribuer à un avenir plus durable
En mettant en œuvre un tel concept, c’est-à-dire celui de la transmission de données entre les nœuds et les hubs IoT, l’équipe a résolu un problème inhérent au système : celui de la disponibilité du spectre des radiofréquences. La technologie mise au point par les ingénieurs de l’UCF pourrait, par exemple, être utilisée pour créer des radios-réveil qui restent inactives et ne consomment pratiquement aucune énergie avant d’être activées. Les radios utiliseraient ensuite l’énergie obtenue à partir des ondes émises par les modules environnants pour fonctionner. Par ailleurst, cette énergie pourrait être stockée dans un condensateur ou une batterie afin d’éviter le gaspillage. « Je suis vraiment ravi que cette technologie, qui est une ramification de mon doctorat, puisse aider à un avenir plus durable », a déclaré Hakhamanesh Mansoorzare, co-inventeur de la technologie et chercheur postdoctoral à l’Université de Floride centrale. Plus d’informations : ucf.edu
Cette piste avait été envisagée par N.Tesla en personne. En attendant, il existe des montres solaires qui se rechargent à la lumière ambiante et ne consomment donc pas de piles au mercure, et des piles AA et AAA rechargeables qui peuvent alimenter tout ce qu’alimentent les piles jetables. Mais aucune loi n’interdit ce gaspillage et les chargeurs trouvables en supermarchés sont les pires, ceux qui chargent les piles par deux et donc les detruisent, nous laissant conclure que les piles rechargeables sont nulles. (Il faut les charger individuellement.)
C’est quoi cette arnaque ! Ça a toujours existé, depuis l’invention de la radio. Avec une diode et un condensateur on peut faire ça. Si les modules IoT consomment vraiment tres peu, ce sera faisable, mais l’innovation réside dans la technologie des modules IoT, pas dans la source d’alimentation.
Cela fait fait penser a la technologie que Nicolas tesla avait utilisé pour faire rouler sa voiture électrique, elle sortira un jour des cartons comme le reste
Le LAAS-CNRS travaille sur le sujet depuis au moins 10 ans (rectenna). Il y a rien de bien nouveau dans ce que vous présentez. De plus, pourquoi mettre en valeur des recherches américaines plutôt que des recherches françaises?
En plus, il y a une grosse ânerie dans le titre: on ne produit produit pas de l’énergie, on la transforme.
mais ce mr maxwell chikumbutso; un autodidacte a deja realisé cela en afrique ; taper sur sur google en vous verrais ces quelques prodiges
oui le 1er qui a travailler sur ce sujet c b1 monsieur maxwell chikumbutso