
Depuis quelques semaines, un certain Elon Musk fait grandement parler de lui, mais plutôt en mal qu’en bien ! Encensé il y a encore quelques années, Elon Musk passait pour un visionnaire, un génie incompris qui allait révolutionner le monde avec Tesla, SpaceX et ses autres lubies dignes d’un roman de science-fiction. Brosser un portrait au vitriol est chose aisée pour ma part, je l’ai toujours profondément détesté ! Aujourd’hui, le milliardaire devenu pseudo conseiller de Donald Trump, perd des milliards chaque jour, la chute de l’empire Musk s’annoncerait-elle ? Toujours est-il que le fantasque personnage est en roue libre, oscillant entre provocations absurdes sur X (ex-Twitter), décisions erratiques et pertes de marché vertigineux. Et, Tesla, ce fleuron de l’industrie automobile électrique, ne fait pas exception à la spirale descendante de son gourou mégalomane. Les voitures se retrouvent bradées sur le bon coin… Décryptage de la chute d’un empire ?
Tesla : du rêve à la dégringolade
Il y a quelques années encore, rouler en Tesla, c’était faire partie d’un club très select. Un badge de modernité, d’innovation et d’éco-responsabilité. La Model S, la Model 3, la Model X… toutes étaient acclamées, et les carnets de commandes débordaient. Mais, depuis, les choses ont changé. Entre qualité douteuse, prix qui jouent au yoyo, promesses non tenues et innovations discutables, Tesla perd progressivement son éclat. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : en 2024, Tesla a vu ses ventes chuter de manière vertigineuse, avec des livraisons en baisse, un marché de l’électrique ultra-concurrentiel et des clients de plus en plus méfiants. On ne compte plus les témoignages de propriétaires Tesla exaspérés par les pannes à répétition, les finitions hasardeuses et les pièces détachées hors de prix. Et, le fameux « Full Self-Driving », ce rêve de voiture autonome promis depuis une décennie, reste une vaste plaisanterie qui transforme certains trajets en films d’horreur.
L’exode des Tesla vers les sites de petites annonces
Le constat est sans appel : les Tesla inondent désormais le marché de l’occasion. Il suffit d’un rapide tour sur Leboncoin, La Centrale ou n’importe quelle plateforme pour voir une marée de Model 3 et Model Y en quête d’un nouveau propriétaire… souvent à des prix cassés. Pourquoi ? Parce que les acheteurs, jadis fascinés, ont fini par comprendre qu’ils payaient cher pour une expérience utilisateur qui frôle parfois le ridicule.
- Des écrans qui plantent en plein trajet
- Des poignées de porte qui cassent à répétition
- Des batteries dont l’autonomie fond plus vite qu’une glace en plein désert
- Un service après-vente digne d’une administration soviétique
- Des pièces qui mettent des mois à arriver (quand elles arrivent)
- Des voitures qui prennent feu toutes seules
Sans parler des modèles vendus à un prix exorbitant il y a deux ans et qui, aujourd’hui, subissent une décote monstrueuse. Résultat : les propriétaires paniquent et cherchent à se débarrasser de leur voiture avant qu’elle ne perde encore plus de valeur. Depuis quelques semaines, d’autocollants anti-Tesla fleurissent sur Amazon… On peut y lire : « j’ai acheté ça avant qu’on sache qu’Elon était fou ». Un moyen également de dire combien la politique américaine actuelle est totalement insensée !
Elon Musk : entre provocations et naufrage industriel
Pendant ce temps, Musk, fidèle à lui-même, préfère provoquer sur X plutôt que de gérer ses entreprises. Entre clashs politiques, décisions absurdes et licenciements en série, il semble plus préoccupé par sa quête d’attention que par la pérennité de Tesla. Résultat ? Les investisseurs s’inquiètent, les actions plongent et le mythe du visionnaire s’effondre. Loin de l’entrepreneur brillant qui voulait « sauver la planète », Musk s’est transformé en divertissement permanent, oscillant entre enfant gâté et PDG insupportable aux tendances fascistes, qu’il ne cache même plus. En instrumentalisant ses propres enfants, ou en rejetant l’un d’eux, transgenre, puis en soutenant des partis d’extrême-droite comme l’AFD en Allemagne, il se saborde lui-même.
Si la tendance se poursuit, ne soyez pas surpris de voir bientôt des Tesla bradées à 10 000 € sur les parkings des concessionnaires d’occasion. Loin de l’image de prestige qu’elle voulait véhiculer, la marque est en train de devenir une galère pour ses propriétaires, une plaie pour ses investisseurs et un fardeau pour l’égo surdimensionné d’Elon Musk. Alors, qui veut encore une Tesla ? On attend vos retours ! N’hésitez pas à partager votre avis ou à signaler une erreur, cliquez ici pour publier un commentaire .
Wow quel article purement gaucho-fasciste…cela étant dit nathalie si tu dit le contraire tu risques d’être insulté,menacé,bannie…la liberté d’expression quoi….