La brillante idée d’inventer la Enomad Uno est née initialement du vœu de Hyerin Park de fournir de l’électricité dans des régions reculées du monde. La fondatrice de la société coréenne Enomad souhaite également favoriser l’usage des énergies renouvelables afin de réduire le réchauffement de notre planète. Elle incite d’ailleurs les consommateurs à produire eux-mêmes l’énergie dont ils ont besoin. Aujourd’hui, cette mini hydrolienne portative résout les problèmes de batteries d’appareils mobiles à plat lors des activités en plein air (camping, randonnée, canoë, pêche…).
Quelles sont les caractéristiques principales de l’hydrolienne portative Enomad Uno ?
Conçu de manière responsable, ce petit générateur d’énergie hydraulique portatif peut accompagner les adeptes d’activités au grand air. Il leur permet de recharger leurs appareils mobiles, même sans réseau, tant qu’il y a des courants d’eau. Il fonctionne aussi bien en eau douce qu’en mer. Ce dispositif est composé de trois modules, notamment le générateur d’une capacité de 5 W, la batterie Lithium-Ion (5600 m Ah) et l’hélice. Le kit comprend également un dispositif de protection de la turbine, un câble d’amarrage et un câble USB.
Les pales de l’hélice de la Enomad Uno sont pliables, ce qui simplifie leur rangement. Grâce à son poids léger (628 g) et à sa taille (270 × 84 × 84 mm), cette centrale hydroélectrique portative est pratique et facile à transporter. Elle peut facilement se glisser dans le sac à dos de ses utilisateurs. Avec son niveau d’étanchéité IP68, elle peut immerger dans l’eau de façon continue en toute sécurité.
Comment utiliser cette centrale hydroélectrique portable ?
La mini-hydrolienne portative Enomad Uno promet une grande facilité d’utilisation. Il suffit de suivre quelques étapes simples :
- retirer le capuchon et le fixer sur le corps du générateur ;
- déplier les pales de l’hélice et les verrouiller ;
- installer le dispositif de protection de la turbine ;
- fixer l’hydrolienne sur un rivage ou sur un bateau, canoë ou kayak à l’aide du câble d’amarrage ;
- placer l’appareil dans l’eau et laisser la batterie se recharger.
Une fois la batterie chargée, on peut y brancher son Smartphone, sa tablette ou son appareil GPS à l’aide du câble USB. Le temps de charge complète de cette batterie est de quatre heures et demie. C’est une alimentation électrique de secours par excellence en pleine nature. Elle permet de recharger jusqu’à deux ou trois Smartphones. Par ailleurs, cette mini hydrolienne peut être employée comme une lampe avec plusieurs modes d’éclairage.
Comment fonctionne-t-elle ?
La centrale hydroélectrique portable Enomad Uno fonctionne sur le même principe que les éoliennes. En effet, l’hélice tourne grâce au mouvement de l’eau, ce qui déclenche la rotation de l’alternateur. Le courant alternatif généré est ensuite converti en courant continu pour alimenter la batterie. Notons que cette dernière peut également être rechargée sur secteur avant de partir pour un camping, une randonnée ou autres activités au grand air. Lorsqu’elle est pleine, le voyant lumineux tourne au vert. On peut détacher cet accumulateur électrique de la mini hydrolienne et y brancher son Smartphone ou autre appareil mobile par la prise USB.
La mini hydrolienne portative Enomad Uno assure une meilleure stabilité à tout moment. Elle est capable de fournir de l’énergie constante, même si le courant d’eau n’est pas stable. D’ailleurs, elle garantit une grande efficacité énergétique. Cette hydrolienne peut générer de l’énergie trois à vingt fois plus rapidement que les solutions similaires sur le marché. Précisons que la société Enomad a privilégié l’utilisation de l’eau, car elle fait partie des ressources naturelles les plus efficaces pour produire de l’énergie renouvelable. De plus, cette ressource est quasiment présente partout, notamment dans la nature et les endroits hors réseau. Elle nous permet donc de profiter de l’électricité n’importe où. Pour avoir plus d’informations sur la mini hydrolienne portable Enomad Uno, visitez le site Energy Nomad.
faut-il encore trouver de l’eau quelque part…