Décidément, la guerre du futur promet d’être aussi spectaculaire qu’un film Marvel. Des robots tueurs, aux drones autonomes capables de surveiller leurs cibles, en passant par les armes autonomes, les technologies militaires de notre génération sont tellement avancées que les pertes humaines au combat pourraient devenir quelque chose de très rare.
Aux États-Unis, par exemple, la division de recherche du Pentagone, la DARPA, a un plan pour révolutionner le concept des porte-avions. En effet, nous venons d’apprendre par le biais de The Economist que cette branche du département américain de la Défense s’apprête à franchir une nouvelle étape dans le cadre du projet Gremlins.
Un avion Lockheed C-130 Hercules modifié comme plateforme
Le projet en question possède parmi ses objectifs la création de « porte-drones » aériens permettant de lancer et de recevoir des engins aériens sans pilote dans les airs. Actuellement, les essais comprennent un avion Lockheed C-130 Hercules converti ainsi que des drones Gremlins Air Vehicles (GAV) X-61A. Sachez que le test initial de ce nouveau type de drones militaires se serait déroulé en novembre 2020. Autant dire qu’il s’agit d’un engin relativement récent. Le concept consiste à lancer les drones à partir de l’avion en vol et à les y faire revenir après chaque mission.
Capables de voler en essaim
Peu après leur libération, les X-61A déploient leurs ailes et allument leurs moteurs. De là, un opérateur humain contrôle l’essaim pour suivre son ordre. Les Gremlins Air Vehicles sont donc capables de voler en groupe. Ils opèrent de façon autonome et sont en mesure d’effectuer des missions de surveillance, voire de participer à des attaques. Pour revenir à la base, c’est-à-dire à bord de l’avion-cargo modifié, les drones s’accrochent à une petite nacelle suspendue sur les ailes de celui-ci.
Des drones « bon marché »
Selon Scott Wierzbanowski, responsable du programme Gremlins auprès de la DARPA, jusqu’à présent, les GAV n’ont pas encore réussi à s’accrocher à la nacelle. Le Pentagone espère résoudre ce problème dans un futur proche, d’autant que notre source note que certaines tentatives « se sont déroulées à quelques centimètres d’une capture réussie ».
À première vue, l’idée de construire des porte-avions volants semble à la fois bizarre, risquée et dangereuse pour l’environnement en raison de l’importante émission de carbone que l’utilisation d’une telle plateforme impliquera. Mais les États-Unis sont préoccupés par le fait que certains missiles à longue portée peuvent voyager plus loin que les avions des porte-avions. Ainsi, en utilisant des drones X-61A, l’armée pourra créer suffisamment de ravages à moindre coût avant que la plateforme ne soit potentiellement abattue par les ennemis.
Bon poisson d’avril. Il fallait aussi rappeller les dirigeables porte-avions des années 1930 😉
Pénible ces articles du 1er avril à part polluer les vraies news c’est tout ce que ça fait. Bref, le 1er avril et les 2 ou 3 jours suivants, mieux vaut ne pas lire les news…
Ce n’est pas une blague…
Source : https://www.economist.com/science-and-technology/2021/03/25/aircraft-carriers-take-to-the-air
1 : lecture du titre de la news, bon OK c’est un canular,
2 : verif de la date, ah ! Ce n’est pas un 01/04, étrange
3: lecture de l’article. Errff Skynet arrive… (bon OK il est déjà là, mais là il vole !)
Un porte avion volant ? Au delà de la blague le concept est intéressant en utilisant des moteurs à hélices électrique alimentée par une pile atomique moins polluants avant tout à l’heure des drones et des nouvelles technologies les portes avions sont dépassé trop de personnel trop lent les avions à helice on été remplacé par des réacteur contrairement aux portes avions propulsé par une technologie vieille d’un siècles il est temps d’arrêter les traditions au profit d’une armée moins importante des unités de combat au sol et des drones un commandement affûté moins de bureaucratie donc un meilleur budget pour ceux qui vont au charbon
Accrochage des drones par flasques magnétiques.