Deux scientifiques anglais pensaient avoir élucidé l’énigme de Jack L’Eventreur, c’était sans compter sur un généticien qui vient de démonter leur thèse… Une énigme vieille de 131 ans !
Il hante les rues de Londres depuis 1888 et n’en finit pas de déjouer les règles de la science du crime ! Son nom : Jack L’Eventreur bien évidemment. Un petit rappel des faits pour vous remettre dans l’ambiance glauque du quartier de Whitechapel…
Dans ce quartier plus que populaire où se mêle la misère et la déchéance, cinq femmes sont sauvagement assassinées puis éventrées, éviscérées ou décapitées, parfois tout en même temps d’ailleurs. Une seule signature : Jack The Ripper qui envoie des lettres accompagnées de morceaux d’organes prélevées sur ses victimes. Mais qui est Jack L’Eventreur ? 131 ans qu’il fait l’objet de nombreuses recherches. Des chercheurs anglais viennent d’avancer une piste !
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Il y a quelques semaines, deux scientifiques pensaient détenir le coupable, un barbier polonais déjà suspecté à l’époque mais relâché fautes de preuves. Ils se sont appuyés sur des traces de sang et de sperme retrouvées sur le châle de l’une des victimes pour étayer leur thèse. Mais les tergiversations vont bon train depuis plus d’un siècle mais on ne connaîtra sans doute jamais la véritable identité de Jack L’Eventreur.
There is a colossal industry around the murders of five women by the man known as Jack the Ripper. The question of his identity, I am confident, will never be known.
13/n— Dr Adam Rutherford (@AdamRutherford) March 18, 2019
Après 7 suspects innocentés, le dernier en date, ce barbier polonais nommée Aaron Kosminski semble ne pas être le véritable assassin si l’on en croit le généticien Adam Rutherford qui avance que même si des traces de sperme ont été retrouvées et identifiées sur le châle de l’une des victimes, elle pouvait être consentante pour des relations sexuelles et que ces traces ne prouvaient en aucun cas qu’il était l’assassin. Le mystère reste donc entier !
