Ce n’est pas un scoop, le secteur de la construction est en forte progression ! Davantage d’habitants à loger nécessitent inéluctablement de construire de nouvelles habitations. Néanmoins, faut-il rappeler que le béton est l’un des matériaux les plus polluants de la planète, comme le rappelle cette infographie publiée sur build-green.fr. Nous vous avons déjà parlé de l’entreprise innovante Wienerberger dans cet article, ou bien dans celui-ci. Et, encore une fois, elle s’impose comme un acteur incontournable grâce à l’ISObric, l’une de ses dernières innovations. Cette brique de 20 cm d’épaisseur se distingue par des performances thermiques exceptionnelles et un design pensé pour répondre aux défis posés par la RE2020. Je vous invite à la découvrir.
Une brique compacte aux performances thermiques inégalées
Avec l’ISObric, Wienerberger a relevé un défi ambitieux : intégrer trois rangées d’alvéoles remplies de laine de roche de 40 mm dans une brique de seulement 20 cm d’épaisseur. Le résultat ? Une performance thermique impressionnante, qui, une fois associée à une isolation intérieure de type 10 + 100 Th32, dépasse un coefficient R mur fini de 5 m².K/W. Mais, ce n’est pas tout : grâce à sa faible épaisseur, cette brique permet de libérer de précieux mètres carrés habitables, un avantage indéniable pour les constructions dans lesquelles chaque centimètre compte. L’ISObric ne se contente pas de respecter les exigences réglementaires de la RE2020. Elle les surpasse.
L’ISObric, l’isolant idéal pour répondre à un mauvais DPE
Ah le fameux DPE, ou Diagnostic de Performance Énergétique, depuis le 1ᵉʳ janvier, les logements classés F ou G, ne sont plus éligibles à la location. Pour les propriétaires, obligés à la rénovation thermique, l’ISObric pourrait être une solution. En effet, avec cette brique, une maison individuelle de plain-pied peut gagner 2,4 points de Bbio, et jusqu’à 5 points pour une maison à étage (R+1). Et, le succès de l’ISObric repose également sur sa simplicité d’utilisation. Avec des dimensions standardisées (500 × 200 × 299 mm) et une compatibilité avec les accessoires actuels, cette brique s’intègre facilement dans les projets de maçonnerie existants. Que ce soit pour la rénovation thermique de bâtiments anciens, ou pour de nouveaux projets immobiliers, l’ISObric pourrait rapidement s’imposer comme une solution écologique et économique.
Quel est le dernier point fort de l’ISObric ?
Autre point fort : cette brique reste un support d’enduit robuste grâce à ses parois renforcées. Elle procure par ailleurs des solutions efficaces pour les ruptures de ponts thermiques, améliorant ainsi l’enveloppe énergétique globale du bâtiment. Sa conception low-tech ne nécessite pas d’équipements spécifiques, ce qui en fait un produit accessible et pratique, même pour les artisans. Enfin, et c’est quand même le nerf de la guerre, son coût est légèrement supérieur, d’approximativement 1 200 € pour 120 m².
Un surcoût rapidement récupéré grâce aux économies d’énergie réalisées. Et vous, seriez-vous prêts à adopter l’ISObric ? Avec des arguments si convaincants, si vous souhaitez en savoir plus, rendez-vous sur le site officiel : wienerberger.fr. Partagez vos réflexions, vos expériences et vos projets dans les commentaires – votre avis nous intéresse ! Ce sujet vous captive ? N’hésitez pas à nous donner votre avis, ou à partager avec nous, votre expérience. Merci de nous signaler toute erreur dans le texte, cliquez ici pour publier un commentaire .